COMME UN CLIC

Publié le par collectifcottesmailles

Dans les billets précédents, nous vous avons présenté les Cottes-Mailles. Nous sommes persuadés que vous avez pris la mesure de ce site exceptionnel pour l'avenir de La Rochelle, et de la qualité du projet dont nous sommes porteurs.

Inévitablement vous vous posez la question suivante:

            - Pourquoi ce projet, réalisable sans fonds public, porteur d'emplois, de travail, indispensable aux besoins à venir de La Rochelle, ne voit-il pas le jour ?

Vous allez être surpris d'apprendre comment et pourquoi les élus s'opposent à ce projet, dont ils devraient être les plus ardents défenseurs.

Avant de rentrer dans les détails des intrigues qui ont paralysé les Cottes-Mailles, une réflexion sans prétention :

            - Internet, cette découverte majeure de la fin du 20ème siècle et du début du 21ème, est né sous les ricanements en France des "satisfaits" du Minitel. Quelques milliards de clics plus tard, le Minitel est mort. Moralité, la vie n'est qu'une affaire de clic.

La démocratie est une suite de clics dominicaux qui projettent les candidats vers le pouvoir ou les font disparaître. Peu d'élus laissent une véritable trace, tel Michel Crépeau, tant le hasard  est omniprésent dans cette affaire, et tant les intrigues et mensonges des candidats sont peu propices à la qualité et troublent le jeu.

L'urbanisme est aussi une suite de clics sur les logiciels de dessin, dont la plus grande part est liée à des "stimuli" qui ne sont pas toujours en rapport avec l'urbanisme.

Les "satisfaits" sont le fond de commerce des élus peu scrupuleux qui, indifférents à l'avenir de leur ville, sont par contre à l'écoute de leur carrière personnelle et donc cherchent à contenter les "satisfaits".

Tout comme les clics sur le net ne vont pas fatalement vous amener sur le site que vous cherchiez, les clics de la politique sont, eux aussi, erratiques.

Mais une chose est sûre, c'est elle qui nous anime, les terrains de Cottes-Mailles sont là, ce ne sont pas quelques clics qui les feront disparaître. Les projets qui verront le jour sur ces terrains ne pourront plus être inférieurs à celui que nous portons, même si lui ne voit pas le jour.

Ce ne sont donc pas les terrains qui s'adapteront à la médiocrité éventuelle des élus, mais les élus qui seront obligés de se hisser à la hauteur de l'avenir de ce foncier exceptionnel.

Promis, dans les prochains billets on vous raconte tout.

Bien cordialement. Le CDCM

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